Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Propos d'un ancien du SDECE
Propos d'un ancien du SDECE
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 29 180
12 novembre 2013

François Hollande et les sifflets lors de la commémoration du 11 novembre 2013

Le 11 novembre 2013, François Hollande, Manuel Valls et les sifflets.

 

Le 11 novembre est la date anniversaire de la Victoire de 1918.

Elle a été obtenue par l’abnégation de tout un peuple, uni autour de son armée. Huit millions d’hommes ont servi sous le drapeau français, de 1914 à1918. Un million trois cent cinquante mille d’entre eux sont tombés au champ d’honneur et un demi million décèderont des suites de leurs blessures.

 

La célébration du 11 novembre, c’est essentiellement l’hommage à ceux qui ont accepté un tel sacrifice, pour le succès des armes de la France.

 

François Hollande, (mais aussi d’autres avant lui), ont tenté de falsifier les faits, et de faire de cette commémoration un événement anti militariste : on a oublié les héros de la guerre au profit des 650 soldats condamnés à être fusillés dans des conditions certes douloureuses, on fête la célébration du défilé du 11/11/1940 sur les Champs Elysées, et celle de 1943 à Oyonnax, trompant l’opinion sur l’essentiel (la Victoire), sur l’époque (1918 n’est ni 1940 ni 1943), sur la nature de la guerre (vaincre, ce n’est pas défiler), et les impitoyables conséquences qu’elle entraîne.

Mais même en dépit de ce mensonge révoltant, les cérémonies du 11 novembre 2013 n’ont pas été troublées par les manifestants. Ce que ceux-ci ont conspué, c’est le chef de l’Etat lors de ses déplacements, et non lors de son recueillement.

 

Les caquètements outragés de la gauche, servilement approuvés par les ténors de la droite n’y changent rien : c’est François Hollande qui a été hué, pas le 11 novembre. Le peuple a sifflé celui qui a osé dépouiller les morts au combat de la reconnaissance sacrée à laquelle ils ont droit, pour se pavaner indûment comme le mauvais acteur d’un mauvais film.

Les échauffourées des Champs Elysées ne sont pas dues à quelques extrémistes que la police se serait efforcée de contenir ; mais c’est au contraire les « forces de l’ordre » de Manuel Valls qui ont procédé à des arrestations arbitraires de personnalités reconnues avant même l’arrivée de F. Hollande, sacrifiant ainsi aux pires habitudes de la répression des délits d’opinion, chères à toutes les organisations fascistes de la planète, qu’elles soient de droite ou de gauche.

 

Ce qui s’est passé le 11 novembre 2013 est grave.

Faisant suite aux exactions de la police lors des manifestations anti mariage pour tous, au déni de démocratie auquel le CESE s’est livré en refusant de recevoir une délégation mandatée par une pétition de 760.000 signatures, François Hollande et son gouvernement persistent dans leurs initiatives anti familiales, anti économiques, anti militaires et de discrimination anti française, pour glaner électoralement les quelques voix des associations marginales favorables aux homosexuels, aux délinquants et aux ghettos auxquels la police renonce à imposer les lois de la République.

 

Ce qui est grave, ce ne sont pas les sifflets des manifestants à l’encontre du chef de l’Etat.
Ce qui est grave, c’est l’autisme de la classe politique et sa volonté de na pas les entendre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                               

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité