Panama papers : un diktat de George SOROS à la

Panama papers : un diktat de George SOROS à la France.

La mise en faillite de la France, qui était à craindre en 2012, n'a pas eu lieu, bien que sa dette extérieure ait continué d'augmenter (elle dépasse les 2 milliards d'euros) et son déficit budgétaire aussi.

Pour quelles raisons ?

Principalement parce qu'il y a une forte demande sur les obligations françaises (qui rapportent moins de 1% sur 10 ans).

Les fonds de pension honnêtes (financés par les caisses de retraite et les assurances) ne peuvent  accepter de telles conditions. Ils se rabattent sur les dettes espagnole, grecque, italienne et portugaise, qui se monnayent à plus de 5%.

Restent les fonds spéculatifs, grands blanchisseurs d'argent sale.

Les journalistes d'investigation professionnellement honnêtes (il y en a encore quelques uns) ont su établir que les infos du Monde sur les « Panama papers » provenaient des bureaux du milliardaire hongrois-américain George SOROS, Président du fonds d'investissement Quantum Found, domicilié dans les Antilles à Curaçao (paradis fiscal, dénoncé par le Groupe d'Action Financière sur le blanchiment des capitaux GAFi. Il est considéré comme l'un des principaux blanchisseur d'argent du narco-trafic).

George SOROS (source Wikipedia) a fondé aux Etats-Unis dans le fin des années 60 le Found Management (LLC) avec la participation des banques Rotschild (France, Holding et Pierson), spécialisé dans la spéculation sur les marchés d'actions obligataires.

On lui prête un rôle déterminant lors de l'éclatement de la bulle financière au Japon (fin des années 80), et lors de la sortie de la Livre sterling du Serpent monétaire européen en 92 ; en 2009, il se serait enrichi de plusieurs milliards de dollars à l'issue de la crise des subprimes.

Se présentant comme philanthrope, George Soros étend volontiers ses activités dans le domaine politique : il a influé sur le déclenchement et le déroulement de la crise ukrainienne, il soutient les mouvements « anti racistes » (plusieurs actions identifiées en France).
Il a été condamné pour délit d'initié.

Conclusion : George Soros fait partie de ces quelques milliardaires qui contrôlent le blanchiment d'argent sale (chiffre d'affaires : 10 mille milliards de dollars, soit 5 fois le PIB de la France, ou 30 fois le budget de l’État). Il est parfaitement capable (et il l'a prouvé à plusieurs reprises) de provoquer la banqueroute financière de la France.
L'action délibérée qu'il mène vis à vis de notre pays par l'intermédiaire du journal Le Monde, peut se traduire ainsi : si le F.N. arrive au pouvoir en 2017, ou si la politique de la France se rapproche de celle de la Russie, sa dette extérieure ne sera plus financée à bas prix et son économie connaîtra un sort comparable à celui de la Grèce par exemple.

Lors de son élection, F . Hollande avait déclaré que son ennemi c'était le monde de la Finance, et qu'il n'avait ni nom ni visage. Maintenant que nous savons que G. Soros en fat partie, il ne lui reste plus qu'à tenir parole, ou a reconnaître qu'il est aux ordres des corrompus.

Hervé LE BIDEAU Le 7 avril 2016